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Enlevez la pierre, dit Jésus. Marthe, la soeur du mort, dit alors : Seigneur, il doit déjà sentir. Cela fait quatre jours qu'il est là.
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Alors le peuple dit à Samuel : Où sont donc ces hommes qui disaient : « Ce Saül va-t-il régner sur nous ? » Qu'on nous les livre et nous les mettrons à mort.
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Jéhu tua encore tous ceux qui restaient de la maison d'Achab à Jizréel, il fit mettre à mort tous ses grands, ses familiers et ses prêtres sans en laisser survivre aucun.
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Et pourtant, la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur les hommes qui n'avaient pas commis une faute semblable à celle d'Adam qui est comparable à celui qui devait venir.
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Lorsque nous étions encore livrés à nous-mêmes, les mauvais désirs suscités par la Loi étaient à l'oeuvre dans nos membres pour nous faire porter des fruits qui mènent à la mort.
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Pourtant, tu nous as écrasés dans le domaine des chacals, et tu nous as couverts de l'ombre de la mort.
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Obéir aux commandements, c'est veiller sur sa propre vie ; ne pas veiller sur sa conduite, c'est courir à la mort.
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Ils n'ont trouvé chez lui aucune raison de le condamner à mort, et pourtant, ils ont demandé à Pilate de le faire exécuter.
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En effet, le Christ est mort et il est revenu à la vie pour être le Seigneur des morts et des vivants.
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Car, tout comme la mort a fait son entrée dans ce monde par un homme, la résurrection vient aussi par un homme.
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Ils servirent l'Eternel pendant toute la vie de Josué et, après sa mort, tant que vécurent les responsables qui avaient vu toute l'oeuvre de l'Eternel en faveur d'Israël.
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Les pièges de la mort m'avaient enveloppé, les terreurs du séjour des morts m'avaient déjà saisi, et j'étais accablé de tristesse et d'angoisse.
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Après la mort de Moïse, serviteur de l'Eternel, l'Eternel dit à Josué, fils de Noun, l'assistant de Moïse :
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les responsables de sa ville enverront quelqu'un le chercher et ils le livreront à celui qui est chargé de punir le crime, et il sera mis à mort.
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Tu veilleras à ce qu'Aaron et ses fils exercent les fonctions sacerdotales ; celui qui ne serait pas de leur famille et qui s'approcherait du tabernacle sera puni de mort.
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A Tsiqlag, un homme est venu me dire : « Voici : Saül est mort », croyant m'annoncer une bonne nouvelle. Je l'ai fait saisir et exécuter pour le payer de sa « bonne nouvelle ».
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Lorsqu'il entendit que Naboth était mort, Achab se mit en route pour se rendre à la vigne de Naboth de Jizréel afin d'en prendre possession.
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Alors les ministres et tout le peuple dirent aux prêtres et aux prophètes : Cet homme ne mérite pas la mort, car c'est au nom de l'Eternel, notre Dieu, qu'il nous a parlé.
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Car je suis malheureux, près de la mort ; depuis que je suis jeune, et jusqu'à maintenant, j'endure les terreurs que tu m'imposes. Je suis à bout.
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Dès qu'Ephraïm parlait, tous étaient terrifiés, il portait la terreur en Israël, il s'est rendu coupable en adorant Baal. C'est pourquoi il est mort.