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Pensant que désormais je ne reviendrai plus chez vous, certains se sont mis à jouer les importants.
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Pour moi, qui suis absent de corps, mais présent en pensée parmi vous, j'ai déjà, comme si j'étais présent, prononcé la sentence au nom du Seigneur Jésus contre celui qui a commis cette faute.
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Lorsque vous serez réunis, et que je serai présent parmi vous en pensée, appliquez cette sentence dans la puissance de notre Seigneur Jésus :
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Mais si un fiancé craint de mal se comporter envers sa fiancée, et pense que les choses doivent suivre leur cours normal, qu'il fasse ce qui lui semble bon ; il ne commet pas de faute. Que ces fiancés se marient donc !
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Toutefois, à mon avis, elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; et je pense, moi aussi, avoir l'Esprit de Dieu.
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Mais tous les chrétiens n'ont pas encore bien assimilé ces vérités. Quelques-uns, encore marqués par leur habitude de rendre un culte aux idoles, continuent à manger ces viandes avec la pensée qu'elles ont été offertes à des idoles. Alors leur conscience, qui est faible, se charge de culpabilité.
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Pensez à ce qui se passe dans le peuple d'Israël, j'entends Israël au sens national : ceux qui mangent les victimes offertes en sacrifice ne sont-ils pas au bénéfice du sacrifice offert sur l'autel ?
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Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais et je raisonnais en enfant. Une fois devenu homme, je me suis défait de ce qui est propre à l'enfant.
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Si quelqu'un estime être un prophète ou pense bénéficier d'une manifestation spirituelle, il doit reconnaître, dans ce que je vous écris, un ordre du Seigneur.
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Persuadé que telle était votre pensée, je m'étais proposé de me rendre chez vous en premier lieu, afin de vous procurer une double joie :
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ainsi que tout ce qui se dresse prétentieusement contre la connaissance de Dieu, et nous faisons prisonnière toute pensée pour l'amener à obéir au Christ.
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Qu'en pensez-vous maintenant ? Est-ce la faveur des hommes que je recherche ou celle de Dieu ? Mon désir est-il de plaire aux hommes ? Si je cherchais encore à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ.
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Je veux que vous le sachiez, frères : le message que je vous ai annoncé n'est pas le fruit d'une pensée humaine.
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Pour moi, voici l'assurance que j'ai à votre sujet à cause du Seigneur : vous ne penserez pas autrement que moi. Mais celui qui jette le trouble parmi vous, quel qu'il soit, recevra son châtiment.
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Aussi je vous demande de ne pas perdre courage en pensant aux détresses que je connais dans mon service pour vous : elles contribuent à la gloire qui vous est destinée.
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A celui qui, par la puissance qui agit en nous, peut réaliser infiniment au-delà de ce que nous demandons ou même pensons,
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Voici donc ce que je vous dis, ce que je vous déclare au nom du Seigneur : vous ne devez plus vivre comme les païens, qui suivent leurs pensées vides de sens.
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à être renouvelés par le changement de ce qui oriente votre pensée,
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et à vous revêtir de l'homme nouveau, créé conformément à la pensée de Dieu, pour mener la vie juste et sainte que produit la vérité.
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J'exprime à mon Dieu ma reconnaissance chaque fois que je pense à vous ;