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Je veux bien que vous sachiez tous parler dans des langues inconnues, mais je préférerais que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus utile que celui qui s'exprime dans une langue inconnue sauf si quelqu'un le traduit pour que l'Eglise puisse grandir dans la foi.
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Comment donc agir, mes frères ? Lorsque vous vous réunissez, l'un chantera un cantique, l'autre aura une parole d'enseignement, un autre une révélation ; celui-ci s'exprimera dans une langue inconnue, celui-là en donnera l'interprétation ; que tout cela serve à faire grandir l'Eglise dans la foi.
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quelques jeunes gens sans défaut physique et de belle apparence. Ils devaient être doués d'intelligence, de sagesse dans tous les domaines, posséder de grandes connaissances, être vigoureux et capables d'apprendre la science, pour entrer au service du palais royal et apprendre la langue et la littérature des Chaldéens.
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Après cela, je vis une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer. C'étaient des gens de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, de toute langue. Ils se tenaient debout devant le trône et devant l'Agneau, vêtus de tuniques blanches et ils avaient à la main des branches de palmiers.
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Et ils chantaient un cantique nouveau : Oui, tu es digne de recevoir le livre, et d'en briser les sceaux car tu as été mis à mort et tu as racheté pour Dieu, par ton sang répandu, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, de toutes les nations.
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toi qui envoies par mer des émissaires dans des vaisseaux de jonc sur la face des eaux ! Rapides messagers, allez vers la nation à la taille élancée, à la peau glabre. Oui, allez vers le peuple que l'on redoute au loin, nation à la langue barbare et qui écrase tout, dont le pays est sillonné de fleuves.
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Voici donc ce que je décrète : Tout homme de quelque peuple, nation ou langue qu'il soit qui parlera d'une manière irrespectueuse du Dieu de Chadrak, de Méchak et d'Abed-Nego sera mis en pièces et sa maison sera réduite en un tas de décombres, parce qu'il n'existe pas d'autre Dieu qui puisse sauver ainsi les hommes.
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Le treizième jour du premier mois, on convoqua les secrétaires impériaux et, sur l'ordre de Haman, ils écrivirent aux satrapes de l'empereur, aux gouverneurs de chaque province et aux ministres de chaque peuple. Les documents furent rédigés selon le système d'écriture des différentes provinces et dans la langue de chaque peuple. Les messages furent écrits au nom de l'empereur Xerxès et scellés du sceau impérial.
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En ce temps-là, le Seigneur des armées célestes recevra un présent de la part de ce peuple à la taille élancée, à la peau glabre, de la part de ce peuple que l'on redoute au loin, nation à la langue barbare et qui écrase tout, qui viendra du pays sillonné par des fleuves, dans le lieu où réside le Seigneur des armées célestes, à la montagne de Sion.
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Tels sont les descendants de Cham selon leurs tribus et leurs langues, dans leurs divers pays et leurs nations.
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Tels sont les descendants de Sem selon leurs familles et leurs langues, dans leurs divers pays et leurs nations.
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Auprès de toi, tu leur donnes un refuge loin des machinations des hommes. Tu les préserves dans ta tente des langues médisantes.
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O Eternel, délivre-moi des lèvres fausses, des langues mensongères !
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Que les mauvaises langues soient bannies de la terre ! Que l'homme violent soit pourchassé sans trêve par le malheur !
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Celui qui fait le mal écoute les propos des méchants, et le menteur prête l'oreille aux mauvaises langues.
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Car moi, je [connais bien] leurs desseins et leurs actes. Voici, je vais venir rassembler toutes les nations et des gens de toutes langues. Ils viendront et verront ma gloire.
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Un héraut proclama à voix forte : A vous, peuples, nations et hommes de toutes langues, on vous fait savoir
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C'est pourquoi au moment où tous les gens entendirent le son du cor, du fifre, de la cithare, de la lyre, de la harpe, et de toutes sortes d'instruments de musique, ces hommes de tous peuples, de toutes nations et de toutes langues se prosternèrent et adorèrent la statue d'or que le roi Nabuchodonosor avait fait ériger.
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Et à cause de la grandeur qu'il lui avait accordée, les gens de tous peuples, de toutes nations et de toutes langues tremblaient de peur devant lui. La vie et la mort de chacun dépendaient de son bon vouloir ; il élevait et abaissait qui il lui plaisait.
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Alors l'empereur Darius écrivit à tous les peuples, à toutes les nations et aux gens de toutes langues qui habitent la terre entière : Que votre paix soit grande !