-
L'insensé pense toujours qu'il fait bien, mais le sage écoute les avis des autres.
-
Bien des hommes pensent être sur le bon chemin, et pourtant, ils se trouvent sur une voie qui, finalement, mène à la mort.
-
Vous pouvez penser que tout ce que vous faites est bien, mais c'est l'Eternel qui apprécie vos motivations.
-
Bien des hommes pensent être sur le bon chemin, et pourtant, ils se trouvent sur une voie qui, finalement, mène à la mort.
-
Le sacrifice des méchants est une horreur, surtout quand ils l'offrent avec des arrière-pensées criminelles.
-
Ne te tourmente pas pour t'enrichir, refuse même d'y penser !
-
Celui qui se vante de sa libéralité sans rien donner fait penser au nuage amené par le vent et qui n'apporte pas la pluie.
-
S'il a des propos bienveillants, ne te fie pas à lui, car son coeur est plein de pensées abominables.
-
Qui se fie à ses propres pensées n'est qu'un insensé, mais celui qui dirige sa marche d'après la sagesse échappera aux dangers.
-
Elle pense à un champ, alors elle l'achète. Du fruit de son travail, elle plante une vigne.
-
Aussi j'en suis arrivé au désespoir en pensant à tout le travail pour lequel je me suis donné tant de peine sous le soleil.
-
Mieux vaut ce qu'on a dans la main que tout ce qu'on pourrait désirer par la pensée. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
-
Ne dénigre pas le roi, même en pensée, et ne dis jamais de mal des puissants, même dans ta chambre à coucher, car l'oiseau du ciel emporterait tes paroles et l'espèce ailée divulguerait tes propos.
-
Voici ce qui arrivera, dit le Seigneur : Quand j'aurai achevé toute mon oeuvre sur le mont de Sion et à Jérusalem, j'interviendrai contre le roi de l'Assyrie à cause de ses pensées orgueilleuses et de son regard arrogant.
-
C'est pourquoi je frémis, comme vibre une harpe, en pensant à Moab, mon coeur se serre pour Qir-Harès.
-
Aussi, ô Eternel, nous espérons en toi ; sur les voies que tracent tes lois, oui, tout notre désir vers toi se porte, nous voulons te garder présent à la pensée.
-
Voici : je t'ai gravée dans le creux de mes mains, je pense constamment à tes remparts.
-
Pourtant, en vérité, c'est de nos maladies qu'il s'est chargé, et ce sont nos souffrances qu'il a prises sur lui, alors que nous pensions que Dieu l'avait puni, frappé et humilié.
-
Que le coupable abandonne sa voie, et l'homme malfaisant ses mauvaises pensées ! Et qu'il revienne à l'Eternel qui aura compassion de lui, à notre Dieu qui lui accordera un pardon généreux.
-
« Car vos pensées ne sont pas mes pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, déclare l'Eternel ;