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Car vous êtes nés à une vie nouvelle, non d'un homme mortel, mais d'une semence immortelle : la Parole vivante et éternelle de Dieu.
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Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu'étant morts pour le péché, nous menions une vie juste. Oui, c'est par ses blessures que vous avez été guéris.
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Par cet Esprit, il avait déjà prêché aux hommes maintenant prisonniers du séjour des morts qui autrefois s'étaient montrés rebelles,
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Ils en rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts.
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C'est pour cela d'ailleurs que la Bonne Nouvelle a aussi été annoncée à ceux qui maintenant sont morts, afin qu'après avoir subi la même condamnation que tous les hommes dans leur corps, ils vivent selon Dieu par l'Esprit.
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Car je sais que je vais bientôt quitter ce corps mortel, comme notre Seigneur Jésus-Christ me l'a révélé.
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« Eh bien, il a promis de venir, mais c'est pour quand ? Nos ancêtres sont morts et depuis que le monde est monde, rien n'a changé ! »
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Leur présence trouble vos repas communautaires. Ils se remplissent la panse sans vergogne, et ne s'intéressent qu'à eux-mêmes. Ils sont pareils à des nuages qui ne donnent pas de pluie et que les vents emportent, à des arbres qui, à la fin de l'automne, n'ont encore donné aucun fruit : ils sont deux fois morts, déracinés.
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Les nations s'étaient soulevées dans leur fureur, mais ta colère est arrivée. L'heure est venue où tous les morts seront jugés et où tes serviteurs les prophètes, tous ceux qui t'appartiennent, tous ceux qui te révèrent, petits et grands, seront récompensés. C'est aussi le moment où ceux qui détruisent la terre seront détruits.
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L'une de ses têtes semblait avoir reçu un coup mortel, comme si elle avait été égorgée. Mais la blessure dont elle aurait dû mourir fut guérie. Là-dessus, le monde entier, rempli d'admiration, se rangea derrière la bête.
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Cette nouvelle bête exerçait tout le pouvoir de la première bête en sa présence. Elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, celle qui avait été guérie de sa blessure mortelle.
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C'est la première résurrection. Les autres morts ne revinrent pas à la vie avant la fin des mille ans.
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Je vis les morts, les grands et les petits, comparaissant devant le trône. Des livres furent ouverts. On ouvrit aussi un autre livre : le livre de vie. Les morts furent jugés, chacun d'après ses actes, suivant ce qui était inscrit dans ces livres.