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Certes, il est mort sur la croix à cause de sa faiblesse, mais il vit par la puissance de Dieu. Nous, de même, dans notre union avec lui, nous sommes faibles, mais nous nous montrerons vivants avec lui par la puissance de Dieu dans notre façon d'agir envers vous.
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Celui qui est venu par l'eau et par le sang, c'est bien Jésus-Christ : il n'est pas passé seulement par l'eau du baptême, mais outre le baptême, il est passé par la mort en versant son sang. Et c'est l'Esprit qui lui rend témoignage, car l'Esprit est la vérité.
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David se dit : Je veux témoigner de la bonté au jeune roi, car son père m'en a témoigné. David lui envoya donc des messagers, pour lui présenter ses condoléances à l'occasion de la mort de son père. Lorsque les hauts fonctionnaires de David arrivèrent au pays des Ammonites auprès de Hanoun pour lui présenter des condoléances,
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Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, comme un sceau sur ton bras. L'amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l'amour sont des flammes ardentes, les flammes de la foudre venant de l'Eternel.
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Maintenant, toute ma famille a pris parti contre ta servante, et ils m'ont demandé : « Livre celui qui a frappé son frère. Nous le mettrons à mort pour le meurtre de son frère. Ainsi, nous supprimerons du même coup l'héritier ! » De cette manière, ils éteindraient la dernière lueur d'espoir qui me reste, et le nom et la postérité de mon mari disparaîtraient de la terre.
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Dès son arrivée au palais, David fit chercher les dix épouses de second rang qu'il avait laissées pour garder le palais et les installa dans une maison bien gardée, il leur donna tout ce qui leur était nécessaire ; mais il n'eut plus de relations avec elles. Dès lors, elles furent séquestrées jusqu'au jour de leur mort, menant la vie des veuves.
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De même, si un homme juste se détourne de sa conduite juste pour faire le mal, parce que j'aurai placé quelque occasion de chute devant lui, et s'il meurt pour n'avoir pas été averti, certes, c'est à cause de sa faute qu'il mourra, et l'on ne tiendra pas compte de sa conduite juste du passé, mais je te demanderai compte de sa mort.
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Quelques années plus tard, ils s'allieront l'un avec l'autre, et la fille du roi du Midi se rendra auprès du roi du Nord pour établir des accords. Elle ne conservera pas sa force et sa postérité ne subsistera pas. Elle sera livrée à la mort avec ceux qui l'avaient amenée, de même que son père et celui qui l'avait soutenue pendant quelque temps.
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Quand le roi d'Israël eut pris connaissance du contenu de cette lettre, il déchira ses vêtements et s'écria : Est-ce que je suis Dieu, moi ? Est-ce que je suis le maître de la vie et de la mort pour que cet homme me demande de guérir quelqu'un de sa lèpre ? Reconnaissez donc et voyez qu'il me cherche querelle.
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Mais les soldats intervinrent et dirent : Comment ! Jonathan mourrait alors que c'est lui qui est à l'origine de cette grande victoire pour Israël ! Sûrement pas ! Aussi vrai que l'Eternel est vivant, nous ne permettrons pas qu'un seul cheveu tombe de sa tête, car ce qu'il a fait aujourd'hui, c'est avec l'aide de Dieu qu'il l'a réalisé. Ainsi, l'intervention du peuple sauva Jonathan et il ne fut pas mis à mort.
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Mais David insista : Je te jure pourtant qu'il en est bien ainsi. Seulement ton père sait très bien que je jouis de ta faveur. Il a dû se dire : « Il ne faut pas que Jonathan l'apprenne, il en serait trop affligé ! » Mais aussi vrai que l'Eternel est vivant, aussi vrai que tu es toi-même en vie, je ne suis qu'à deux doigts de la mort.
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Or, au moment précis où il lui racontait comment Elisée avait ramené un mort à la vie, la femme dont il avait ressuscité le fils arriva auprès du roi pour implorer son intervention au sujet de sa maison et de ses terres. Alors Guéhazi s'exclama : Mon seigneur le roi, voici la femme dont je te parlais et voici son fils qu'Elisée a rendu à la vie !
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Et tout cela arrive afin qu'aucun autre arbre croissant au bord de l'eau ne devienne orgueilleux à cause de sa taille et n'élève sa cime jusque dans les nuages, et afin qu'aucun arbre arrosé par les eaux ne se dresse en hauteur poussé par son orgueil. Car ils sont tous voués à la mort, pour descendre au séjour souterrain, au milieu des humains avec ceux qui descendent dans la fosse.
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Mais elle lui répondit : Aussi vrai que l'Eternel, ton Dieu, est vivant, je n'ai pas le moindre morceau de pain chez moi. Il me reste tout juste une poignée de farine dans un pot, et un peu d'huile dans une jarre. J'étais en train de ramasser deux bouts de bois. Je vais rentrer et préparer ce qui me reste pour moi et pour mon fils. Quand nous l'aurons mangé, nous n'aurons plus qu'à attendre la mort.
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Tous les serviteurs de l'empereur ainsi que les habitants de toutes les provinces de l'empire savent bien qu'il y a une loi, qui est la même pour tous, en vertu de laquelle tout homme ou toute femme qui pénétrerait dans la cour intérieure du palais pour se rendre auprès de l'empereur sans avoir été convoqué par lui, sera mis à mort, sauf si l'empereur lui tend son sceptre d'or. Alors seulement sa vie lui sera épargnée. Quant à moi, voilà trente jours que je n'ai plus été invitée à me rendre chez l'empereur.
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Ils se dirent les uns aux autres : Allons, moulons des briques et cuisons-les au four. Ainsi ils employèrent les briques comme pierres et le bitume leur servit de mortier.
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Ces derniers rassemblèrent leurs troupes dans la vallée de Siddim que recouvre aujourd'hui la mer Morte.
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Des oiseaux de proie fondirent sur les bêtes mortes, mais Abram les chassa.
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Il leur dit : Je ne suis qu'un étranger chez vous ; accordez-moi parmi vous une propriété funéraire pour que je puisse enterrer ma femme qui est morte.
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Les Hittites garantirent à Abraham la propriété du champ et de la caverne pour qu'il y enterre ses morts.