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Pourtant, leur libérateur est puissant : car il se nomme le Seigneur des armées célestes. Il prend en main leur cause et il la défendra. Il donnera la tranquillité au pays et il ébranlera les habitants de Babylone.
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Les courriers courent et rejoignent d'autres courriers, et les messagers d'autres messagers pour annoncer au roi de Babylone que, de tous les côtés, sa ville est prise.
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Voici ce que déclare l'Eternel votre Libérateur, moi le Saint d'Israël : « C'est à cause de vous que j'envoie une armée combattre Babylone, et que je fais descendre tous les Chaldéens qui s'enfuient sur les navires mêmes où ils criaient de joie.
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Les gens venus de Babylone firent une statue de Soukkoth-Benoth, ceux de Kouth firent une idole de Nergal, ceux de Hamath en firent une d'Achima,
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Mais lorsque Nabuchodonosor, roi de Babylone, a envahi ce pays, nous nous sommes dit : « Retirons-nous dans Jérusalem pour fuir les armées des Chaldéens et des Syriens. » Nous nous sommes donc installés dans Jérusalem.
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A cette époque, le roi d'Egypte cessa ses expéditions militaires, car le roi de Babylone s'était emparé de tous les territoires qui, depuis le torrent bordant la frontière nord de l'Egypte jusqu'à l'Euphrate, avaient été sous domination égyptienne.
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« Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes, Dieu d'Israël : Oui, la population de Babylone est pareille à une aire au temps où on la foule. Encore un peu de temps et l'heure des récoltes sera venue pour elle. »
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Ils égorgèrent les fils de Sédécias sous ses yeux, puis on creva les yeux à Sédécias et on le lia avec une double chaîne de bronze. Après cela, on le déporta à Babylone.
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Mais l'armée des Chaldéens se lança à leur poursuite et rattrapa Sédécias dans la plaine de Jéricho ; ils le firent prisonnier et l'amenèrent à Nabuchodonosor, roi de Babylone, à Ribla dans le pays de Hamath. Celui-ci prononça son jugement contre lui.
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Car je vais susciter une coalition de grandes nations des pays du nord pour qu'elles viennent attaquer Babylone. Elles se rangeront en bataille contre elle et s'en empareront. Leurs flèches sont semblables à d'habiles guerriers et elles ne reviennent pas à vide.
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Que le peuple de Sion dise : « Que toutes les violences qu'elle m'a fait subir, à moi et à mes enfants, que tout cela retombe sur Babylone ! » Que Jérusalem dise : « Que mon sang répandu retombe sur les Chaldéens ! »
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car le roi de Babylone se tient au carrefour d'où partent les deux chemins pour interroger le sort : il tire au sort avec des flèches, il consulte les idoles domestiques, il examine le foie d'animaux.
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Tu emporteras aussi tout l'argent et l'or que tu auras collecté dans toute la province de Babylone et les dons volontaires faits par le peuple et les prêtres pour le Temple de leur Dieu qui est à Jérusalem.
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Sauvez-vous, fuyez vite, cachez-vous dans des trous profonds, et restez-y, habitants de Hatsor, l'Eternel le déclare. Nabuchodonosor, le roi de Babylone, fait des plans contre vous, il a formé des projets contre vous.
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Voici ce que l'Eternel dit à Jérémie lorsqu'il s'adressa à lui après que Nebouzaradân, le chef de la garde, l'eut renvoyé à Rama. Celui-ci l'avait en effet trouvé enchaîné au milieu de tous les captifs de Jérusalem et de Juda que l'on déportait à Babylone.
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Puisse-t-il en être ainsi ! Que l'Eternel agisse de la sorte et accomplisse ce que tu viens de prophétiser, en ramenant de Babylone dans ce lieu les ustensiles du Temple et tous les déportés !
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pendant que l'armée du roi de Babylone combattait Jérusalem et toutes les villes de Juda qui tenaient encore, c'est-à-dire Lakich et Azéqa, car c'étaient là les places fortes de Juda qui résistaient encore.
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Car ainsi parle le Seigneur des armées célestes, Dieu d'Israël : J'impose à toutes ces nations un joug de fer pour qu'elles soient assujetties à Nabuchodonosor, roi de Babylone ! Oui, elles lui seront assujetties, et je lui ai même soumis les animaux sauvages.
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Mais je fortifierai les bras du roi de Babylone, je mettrai dans sa main ma propre épée et je casserai les deux bras du pharaon qui gémira devant son ennemi comme gémit un homme qui est blessé à mort.
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Ah ! Babylone ! On n'entendra plus chez toi la musique des harpistes et des chanteurs ! Ni flûte, ni trompette ne résonnera plus dans tes murs ! On n'y verra plus d'artisan d'aucun métier ! Le bruit de la meule s'y taira pour toujours.