-
Et l'Éternel vit que la méchanceté de l'homme était grande sur la terre, et que toute l'imagination des pensées de son coeur n'était que méchanceté en tout temps.
-
Et l'Éternel dit: Voici, c'est un seul peuple, et ils n'ont, eux tous, qu'un seul langage, et ils ont commencé à faire ceci; et maintenant ils ne seront empêchés en rien de ce qu'ils pensent faire.
-
Et les hommes du lieu s'enquirent au sujet de sa femme, et il dit: C'est ma soeur, car il craignait de dire: ma femme; de peur, pensait-il, que les hommes du lieu ne me tuent à cause de Rebecca, car elle est belle de visage.
-
Israël dit à Joseph: Je n'avais pas pensé voir ton visage; et voici, Dieu m'a fait voir aussi ta semence.
-
Vous, vous aviez pensé du mal contre moi: Dieu l'a pensé en bien, pour faire comme il en est aujourd'hui, afin de conserver la vie à un grand peuple.
-
Et elle sera pour vous une houppe; et vous la verrez, et il vous souviendra de tous les commandements de l'Éternel, afin que vous les fassiez, et que vous ne recherchiez pas les pensées de votre coeur, ni les désirs de vos yeux, après lesquels vous vous prostituez;
-
Et il arrivera que je vous ferai à vous, comme j'ai pensé de leur faire, à eux.
-
Prends garde à toi, de peur qu'il n'y ait dans ton coeur quelque pensée de Bélial, et que tu ne dises: La septième année approche, l'année de relâche, et que ton oeil ne soit méchant contre ton frère pauvre, et que tu ne lui donnes pas, et qu'il ne crie contre toi à l'Éternel, et qu'il n'y ait du péché en toi.
-
alors vous lui ferez comme il pensait faire à son frère; et tu ôteras le mal du milieu de toi.
-
Et quand des maux nombreux et des détresses l'auront atteint, il arrivera que ce cantique élèvera la voix devant lui en témoignage; car il ne sera pas oublié dans la bouche de sa postérité; car je connais sa pensée qu'il a formée déjà aujourd'hui, avant que je l'introduise dans le pays que je lui ai promis par serment.
-
Et la chose fut bonne aux yeux des fils d'Israël; et les fils d'Israël bénirent Dieu, et ne pensèrent plus à monter en bataille contre eux pour détruire le pays où habitaient les fils de Ruben et les fils de Gad.
-
Et le père dit: J'ai pensé que tu l'avais en haine, et je l'ai donnée à ton compagnon. Sa jeune soeur n'est-elle pas plus belle qu'elle? Prends-là à sa place, je te prie.
-
Et il arriva que tous ceux qui virent cela, dirent: Jamais chose pareille n'a eu lieu ni ne s'est vue, depuis le jour que les fils d'Israël sont montés du pays d'Égypte jusqu'à ce jour. Pensez à cela, prenez conseil, et parlez.
-
et Éli pensa qu'elle était ivre. Et Éli lui dit: Jusques à quand seras-tu ivre?
-
Quand ils furent venus dans le pays de Tsuph, Saül dit à son serviteur qui était avec lui: Viens, et retournons-nous-en, de peur que mon père n'ait cessé de penser aux ânesses, et qu'il ne soit en peine de nous.
-
Et Saül dit: Vous direz ainsi à David: Le roi ne désire point de dot, mais cent prépuces de Philistins, pour que le roi soit vengé de ses ennemis. Et Saül pensait faire tomber David par la main des Philistins.
-
Et Jonathan dit: Loin de toi une telle pensée; car si je savais certainement que mon père fût décidé à faire venir le mal sur toi, ne t'en informerais-je pas?
-
Et Jonadab, fils de Shimha, frère de David, prit le parole et dit: Que mon seigneur ne pense pas qu'on ait tué tous les jeunes hommes, fils du roi, car Amnon seul est mort; car cela a eu lieu par l'ordre d'Absalom qu'il avait arrêté dès le jour qu' Amnon humilia Tamar, sa soeur.
-
Et la femme dit: Et pourquoi as-tu pensé ainsi contre le peuple de Dieu? et le roi dit cette parole comme un homme coupable, le roi ne faisant point revenir celui qu'il a chassé.
-
Car nous mourrons certainement, et nous sommes comme de l'eau versée sur le terre, qu'on ne peut recueillir. Et Dieu ne lui a point ôté la vie, mais il a la pensée que celui qui est chassé ne demeure plus chassé loin de lui.