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C'est vrai : je suis venu du Père et je suis venu dans le monde. Maintenant, je quitte le monde et je retourne auprès du Père.
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Voici ce qu'a prétendu Job : « Je suis dans mon bon droit, mais Dieu me refuse justice.
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Je me suis renfermé dans un complet silence, sans prononcer une parole ; ma douleur s'est exaspérée.
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La communauté d'Israël reconnaîtra dès ce jour et dans l'avenir que je suis l'Eternel, son Dieu.
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C'est pourquoi je vous ai dit : « Vous mourrez dans vos péchés. » En effet, si vous ne croyez pas que moi, je suis, vous mourrez dans vos péchés.
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Crois-tu donc que c'est sans l'assentiment de l'Eternel que je suis venu dans ce pays pour le détruire ? C'est l'Eternel qui m'a dit : “Va dans ce pays et détruis-le !” »
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Je souffre tous les jours dans mon humiliation ; je suis couvert de honte
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Alors Jésus intervint d'une voix forte, et on l'entendit dans toute la cour du Temple : Vraiment ! Vous me connaissez et vous savez d'où je suis ! Sachez-le, je ne suis pas venu de ma propre initiative. C'est celui qui est véridique qui m'a envoyé. Vous ne le connaissez pas.
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Regarde-moi avec bonté : je suis ton serviteur ! Viens me sauver dans ton amour !
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Car voici ce que Dieu dit dans l'Ecriture : Soyez saints, car je suis saint.
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Car voici, devant Dieu je suis semblable à toi, j'ai été, comme toi, façonné dans l'argile.
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Penses-tu être dans ton droit quand tu affirmes : « Oui, je suis juste aux yeux de Dieu ! » ?
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Booz dit à Ruth : Ecoute bien, ma fille : Ne va pas glaner dans un autre champ ; reste ici et suis mes servantes !
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Il répondit à tous : Moi je vous baptise dans l'eau. Mais quelqu'un va venir, qui est plus puissant que moi. Je ne suis même pas digne de dénouer la lanière de ses sandales. Lui, il vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu.
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Ensuite je me suis rendu dans les districts de la Syrie et de la Cilicie.
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Je n'ai pas parlé en secret ni dans un lieu caché, car aux descendants de Jacob, je n'ai pas dit : “Cherchez-moi dans le vide.” Moi, je suis l'Eternel, je dis ce qui est juste, je proclame ce qui est droit.
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Tu m'as fait ce que je suis, et tu m'as tissé dans le ventre de ma mère.
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Je suis plein d'affection pour ceux qui t'appartiennent dans le pays : ce sont eux qui sont vraiment grands.
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Aucun ne réfléchit, aucun n'a de savoir ni assez de raison pour se dire en lui-même : « J'ai brûlé la moitié de mon bois dans le feu, j'ai aussi cuit du pain sur les braises du bois, j'ai rôti de la viande dont je me suis nourri, et de ce qui restait, j'ai fait une abomination, je me suis prosterné devant un bout de bois ! »
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Déjà je suis compté parmi ceux qui s'en vont dans le tombeau. Je ressemble à un homme qui a perdu ses forces.