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Lors des fêtes et des solennités, l'offrande sera de quinze kilogrammes de grains par taureau et par bélier, et, pour les agneaux, ce qu'il voudra donner ; avec chaque mesure de quinze kilogrammes de grains, on offrira trois litres et demi d'huile.
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« Mais, un jour, les Israélites seront nombreux comme les grains de sable sur le bord de la mer, que nul ne peut compter ni mesurer. Et, au lieu même où on leur avait dit : “Vous n'êtes pas mon peuple”, on leur dira : “Vous êtes les enfants du Dieu vivant.”
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Les graines répandues pourrissent sous les mottes, les greniers sont en ruine, les silos démolis, car le blé fait défaut.
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Alors les aires se rempliront de grains, et les cuves regorgeront de vin nouveau et d'huile.
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oui, vous qui dites : « Quand la nouvelle lune sera-t-elle passée, pour que nous vendions notre blé ? Quand le sabbat finira-t-il pour que nous ouvrions nos magasins de grains ? Nous diminuerons la mesure, nous en augmenterons le prix, en truquant les balances,
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Oui, les voilà qui viennent tous adonnés à la violence ; le visage tendu, ils foncent en avant. Voilà les prisonniers, rassemblés, innombrables comme les grains de sable.
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Il en est de même d'une lampe : si on l'allume, ce n'est pas pour la mettre sous une mesure à grains : au contraire, on la fixe sur un pied de lampe pour qu'elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.
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Pourquoi vois-tu les grains de sciure dans l'oeil de ton frère, alors que tu ne remarques pas la poutre qui est dans le tien ?
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A cette époque, un jour de sabbat, Jésus traversait des champs de blé. Comme ses disciples avaient faim, ils se mirent à cueillir des épis pour en manger les grains.
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Alors qu'il répandait sa semence, des grains tombèrent au bord du chemin ; les oiseaux vinrent et les mangèrent.
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D'autres grains tombèrent parmi les ronces. Celles-ci grandirent et étouffèrent les jeunes pousses.
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D'autres grains enfin tombèrent sur la bonne terre et donnèrent du fruit avec un rendement de cent, soixante, ou trente pour un.
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Jésus leur raconta une autre parabole : Le royaume des cieux ressemble à une graine de moutarde qu'un homme a prise pour la semer dans son champ.
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L'ennemi qui a semé les mauvaises graines, c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.
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Parce que vous n'avez que peu de foi, leur répondit-il. Vraiment, je vous l'assure, si vous aviez de la foi, même si elle n'était pas plus grosse qu'une graine de moutarde, vous pourriez commander à cette montagne : Déplace-toi d'ici jusque là-bas, et elle le ferait. Rien ne vous serait impossible.
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Or comme il répandait sa semence, des grains tombèrent au bord du chemin ; les oiseaux vinrent et les mangèrent.
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D'autres grains tombèrent parmi les ronces. Celles-ci grandirent et étouffèrent les jeunes pousses, si bien qu'elles ne produisirent pas de fruit.
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D'autres encore tombèrent dans la bonne terre et donnèrent des épis qui poussèrent et se développèrent jusqu'à maturité, produisant l'un trente grains, un autre soixante, un autre cent.
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Il leur dit aussi : Est-ce qu'on apporte une lampe pour la mettre sous une mesure à grains ou sous un lit ? N'est-ce pas plutôt pour la mettre sur un pied de lampe ?
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D'elle-même, la terre fait pousser le blé : d'abord la tige, puis l'épi vert, et enfin les grains de blé remplissant cet épi.