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Eliphaz de Témân, Bildad de Chouah et Tsophar de Naama allèrent accomplir ce que l'Eternel leur avait demandé. L'Eternel eut égard à la prière de Job.
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On ne pouvait trouver dans le pays entier des femmes aussi belles que les filles de Job. Leur père leur donna une part d'héritage au même titre qu'à leurs frères.
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Alors Satan se retira de la présence de l'Eternel et il infligea à Job une douloureuse maladie de peau qui s'étendit de la plante des pieds jusqu'au crâne.
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Et même s'il y avait, parmi les habitants de ce pays, ces trois hommes, Noé, Danel et Job, eux seuls obtiendraient la vie sauve par leur droiture. Le Seigneur, l'Eternel, le déclare.
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Il y avait, au pays d'Outs, un homme appelé Job. C'était un homme intègre et droit, un homme qui révérait Dieu et qui évitait de faire le mal.
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Alors Elihou, fils de Barakeel, de Bouz, et du groupe familial de Ram, fut pris d'une grande indignation. Il se mit en colère contre Job parce que celui-ci se disait juste aux yeux de Dieu.
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Alors l'Eternel demanda à Satan : As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n'y a personne comme lui sur la terre : c'est un homme intègre et droit, un homme qui révère Dieu et qui évite de mal faire.
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L'Eternel bénit le reste de la vie de Job plus que la première partie, si bien qu'il posséda quatorze mille ovins et six mille chameaux, mille paires de boeufs et mille ânesses.
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si Noé, Danel et Job se trouvaient là, aussi vrai que je suis vivant, le Seigneur, l'Eternel, le déclare, ils ne sauveraient ni leurs fils ni leurs filles, eux seuls obtiendraient la vie sauve par leur droiture.
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Oui, nous disons bienheureux ceux qui ont tenu bon. Vous avez entendu comment Job a supporté la souffrance. Vous savez ce que le Seigneur a finalement fait en sa faveur, parce que le Seigneur est plein de bonté et de compassion.
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Or, trois amis de Job apprirent que tous ces malheurs venaient de fondre sur lui. Ils vinrent chacun de son pays. C'était Eliphaz de Témân, Bildad de Chouah, et Tsophar de Naama. En effet, ils décidèrent ensemble d'aller lui témoigner leur sympathie et le consoler.
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Mais il lui répondit : Tu parles comme une insensée. Quoi ! nous recevrions de Dieu le bonheur, et nous ne recevrions pas aussi le malheur ! Au milieu de tous ces malheurs, Job ne commit pas de péché dans tout ce qu'il dit.
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Alors l'Eternel reprit : As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n'y a personne comme lui sur la terre : c'est un homme intègre et droit, un homme qui révère Dieu et qui évite de mal faire. Il persévère toujours dans son intégrité. C'est pour rien que tu m'as incité à l'accabler.
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Tous les frères et soeurs de Job, et toutes ses connaissances vinrent lui rendre visite. Ils prirent leur repas auprès de lui dans sa maison ; ils le consolèrent et ils lui témoignèrent toute leur compassion pour les malheurs que l'Eternel lui avait envoyés. Chacun d'entre eux lui donna une pièce d'argent et un anneau d'or.