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Je regardai encore pendant qu'on installait des trônes, un vieillard âgé de très nombreux jours prit place sur l'un d'eux. Son vêtement était blanc comme de la neige et ses cheveux étaient comme la laine nettoyée. Son trône, embrasé de flammes de feu, avait des roues de feu ardent.
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Alors elle fit le voeu suivant : Eternel, Seigneur des armées célestes, si tu veux bien considérer la misère de ta servante et si tu interviens en ma faveur, si tu ne délaisses pas ta servante et si tu me donnes un fils, alors je te le consacrerai pour toute sa vie ; ses cheveux et sa barbe ne seront jamais coupés.
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Je pris ces compatriotes à partie et j'appelai la malédiction sur eux ; je battis même quelques-uns d'entre eux et je leur arrachai les cheveux, puis je leur fis prêter serment au nom de Dieu en disant : Vous ne donnerez pas vos filles à des fils d'étrangers et vous ne prendrez leurs filles ni pour vos fils, ni pour vous-mêmes.
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Il adviendra, qu'au lieu de leurs parfums, ce sera la mauvaise odeur émanant de la pourriture ; au lieu de leurs ceintures, ce sera une corde ; au lieu de leurs cheveux artistement tressés, ce sera une tête chauve ; au lieu de linge fin, un habit de toile de sac ; au lieu de la beauté, une marque infamante.
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Cet être tendit une forme de main et me saisit par une mèche de mes cheveux, et l'Esprit me souleva entre ciel et terre et me transporta dans une vision divine à Jérusalem, à l'entrée de la porte du parvis intérieur du Temple, celle qui est tournée vers le nord, où se trouve la statue de la provocation, celle qui provoque l'Eternel qui ne tolère aucun rival.