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Comme s'il pouvait y avoir un autre message ! Non, il n'en existe pas d'autre, mais il y a des gens qui sèment le trouble parmi vous et qui veulent renverser le message du Christ.
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Vous êtes morts avec le Christ à tous ces principes élémentaires qui régissent la vie dans ce monde. Pourquoi alors, comme si votre vie appartenait encore à ce monde, vous laissez-vous imposer des règles du genre :
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Mes enfants, demeurez attachés au Christ pour qu'au moment où il paraîtra, nous soyons remplis d'assurance et que nous ne nous trouvions pas tout honteux loin de lui au moment de sa venue.
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Et vous, qui étiez morts à cause de vos fautes, et parce que vous étiez des incirconcis, des païens, Dieu vous a donné la vie avec le Christ. Il nous a pardonné toutes nos fautes.
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Maintenant, je me réjouis des souffrances que j'endure pour vous. Car, en ma personne, je complète, pour le bien de son corps qui est l'Eglise, ce qui manque aux détresses que connaît le Christ.
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Vous croyez depuis longtemps que nous cherchons à nous justifier à vos yeux. Non, c'est devant Dieu que nous parlons, en accord avec le Christ ; et tout cela, mes chers amis, ne vise qu'à une seule chose : votre croissance dans la foi.
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Ils cherchaient à découvrir à quelle époque et à quels événements se rapportaient les indications données par l'Esprit du Christ. Cet Esprit était en eux et annonçait à l'avance les souffrances du Messie et la gloire dont elles seraient suivies.
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Aussi ne dépassons-nous pas les limites de notre domaine comme si nous n'étions pas arrivés jusqu'à vous. Car nous sommes bien venus chez vous les premiers pour vous annoncer la Bonne Nouvelle du Christ.
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Que le Dieu de paix vous rende lui-même entièrement saints et qu'il vous garde parfaitement esprit, âme et corps pour que vous soyez irréprochables lors de la venue de notre Seigneur Jésus-Christ.
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Car pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ, ce qui importe, ce n'est pas d'être circoncis ou incirconcis, c'est d'avoir la foi, une foi qui se traduit par des actes inspirés par l'amour.
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mais il m'a répondu : « Ma grâce te suffit, c'est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement. » C'est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance du Christ repose sur moi.
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Le mari, en effet, est le chef de sa femme comme le Christ est le chef, la tête de l'Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur.
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Faites donc vous-mêmes votre propre critique, et examinez-vous, pour voir si vous vivez dans la foi. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est parmi vous ? A moins, peut-être, que cet examen n'aboutisse pour vous à un échec.
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Dans cette nouvelle humanité, il n'y a plus de différence entre Juifs et non-Juifs, entre circoncis et incirconcis, étrangers, barbares, esclaves, hommes libres : il n'y a plus que le Christ, lui qui est tout et en tous.
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Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d'organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu'un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis au Christ.
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Et cela, malgré la pression de faux-frères, des intrus qui s'étaient infiltrés dans nos rangs pour espionner la liberté dont nous jouissons dans notre union avec Jésus-Christ. Ils voulaient faire de nous des esclaves.
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C'est ainsi que vous êtes sauvés maintenant, vous aussi : ces événements préfiguraient le baptême. Celui-ci ne consiste pas à laver les impuretés du corps, mais à s'engager envers Dieu avec une conscience pure. Tout cela est possible grâce à la résurrection de Jésus-Christ
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Car un esclave qui a été appelé à servir le Seigneur est un affranchi du Seigneur. Et de même, l'homme libre que Dieu a appelé est un esclave du Christ.
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C'est à cela que Dieu vous a appelés par la Bonne Nouvelle que nous vous avons annoncée, Dieu vous a appelés, pour que vous possédiez la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ.
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Je trouve ainsi ma joie dans la faiblesse, les insultes, la détresse, les persécutions et les angoisses que j'endure pour le Christ. Car c'est lorsque je suis faible que je suis réellement fort.