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Mais, s'il te plaît, pense à moi quand tout ira de nouveau bien pour toi et aie la bonté de parler en ma faveur au pharaon pour me faire sortir de cette prison.
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Mais le chef des échansons ne pensa plus à Joseph : il l'oublia.
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Mais ils lui répondirent : Pourquoi mon seigneur dit-il pareille chose ? Tes serviteurs n'ont jamais eu la pensée de commettre une telle action !
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Le pharaon pensera : Les Israélites se sont égarés dans le pays, le désert les tient emprisonnés.
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Pense à observer le jour du sabbat et fais-en un jour consacré à l'Eternel.
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Ainsi, lorsque vous verrez ces franges, vous penserez à tous les commandements de l'Eternel pour les appliquer et vous ne vous égarerez pas en suivant les désirs de votre coeur et de vos yeux qui vous incitent à l'infidélité.
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Il lui demanda : N'avais-je pas déjà envoyé une première délégation vers toi pour te faire venir ? Pourquoi n'es-tu pas venu tout de suite chez moi ? As-tu pensé que je ne serais pas capable de te traiter avec honneur ?
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Lorsque l'Eternel ton Dieu les aura dépossédés en ta faveur, ne t'avise pas de penser : « C'est parce que je suis juste que l'Eternel m'a fait venir pour prendre possession de ce pays. » Non ! C'est à cause de la perversité de ces nations qu'il va les chasser devant toi.
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Garde-toi bien de nourrir dans ton coeur des pensées mesquines et de te dire : « C'est bientôt la septième année, l'année de la remise des dettes » et, pour cette raison, de regarder ton compatriote pauvre d'un mauvais oeil sans rien lui donner. Car alors, il se plaindrait de toi à l'Eternel et tu porterais la responsabilité d'une faute.
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Pensez aux jours d'alors et songez aux années du temps de vos aïeux ! Interrogez vos pères et ils vous le diront, demandez aux vieillards et ils vous l'apprendront.
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Ils se lanceront à notre poursuite et nous les attirerons loin de la ville. En effet, ils penseront que nous fuyons encore devant eux, comme l'autre fois.
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C'est alors que nous avons pensé à construire cet autel, non pour y offrir des holocaustes et des sacrifices,
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Ne vous mêlez pas à ces populations qui subsistent parmi vous. N'ayez aucune pensée pour leurs dieux, ne prêtez pas serment par leur nom, ne leur rendez pas de culte et ne vous prosternez pas devant eux pour les adorer.
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Le peuple répondit : Loin de nous la pensée d'abandonner l'Eternel pour adorer d'autres dieux !
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Ils attendirent un bon moment. Enfin, ne sachant plus que penser, et comme il n'ouvrait toujours pas les portes, ils prirent la clé et ouvrirent eux-mêmes et voici que leur maître était étendu à terre, mort.
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Vous tous qui chevauchez sur des ânesses blanches, vous qui êtes assis sur des tapis, et vous qui parcourez les chemins : pensez-y !
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L'Eternel dit à Gédéon : Ton armée est trop nombreuse pour que je te donne la victoire sur les Madianites. Sinon les Israélites s'en vanteraient à mes dépens, en pensant que c'est par leurs propres forces qu'ils se sont délivrés.
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Les hommes d'Israël devaient alors faire volte-face dans la bataille. Donc, alors que les Benjaminites avaient commencé à leur tuer une trentaine d'hommes et pensaient les avoir battus comme précédemment,
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J'ai pensé t'en informer et te proposer de le racheter par-devant les habitants de la ville et les responsables de mon peuple ici présents. Si tu veux exercer ton droit de rachat, fais-le. Sinon, déclare-le moi, que je le sache, car tu viens en premier lieu pour disposer du droit de rachat, et je viens directement après toi. L'homme lui répondit : Oui, je veux le racheter.
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Anne priait intérieurement : ses lèvres bougeaient, mais on n'entendait pas sa voix. Eli pensa qu'elle était ivre